Digiflux faisait partie du contre-projet non officiel aux initiatives agricoles passées. Il ne changera rien à la quantité d'engrais et de PPP utilisés, a souligné Nicolas Kolly. Les obligations d'enregistrement actuelles sont suffisantes, les agriculteurs peuvent ainsi « se concentrer sur leur travail, qui consiste à prendre soin de la nature ». Exiger que chaque agriculteur « allume son ordinateur et entre des données à chaque fois qu'il travaille » va trop loin, a déclaré Nicolas Kolly.
Le Conseil national s'est laissé convaincre par la motion et l'a approuvée par 95 voix contre 90 et 5 abstentions. Le Conseil des Etats en débattra ensuite.